Tlemcen : le Ciné club du Mardi.
L'Association "La Grande Maison" en collaboration avec la Maison de la Culture et la direction de la culture de Tlemcen organise le ciné club du Mardi par la projection-débat du film « "L'Algérie, Son Cinéma et Moi" de Larbi Benchiha - 52min – 2006 et une rencontre avec "Hadj Bensalah" directeur de la Cinémathèque d'Oran, spécialiste en cinéma qui animera une conférence sur le thème "La cinémathèque algérienne un pôle attractif pour l'information et la formation". le 24 février prochain à la maison de la culture« Abdelkader Alloula » à partir de 17 h.30 selon la présidente de l’Association, et en avant première des courts-métrages du réalisateur Noureddine Benhamed (Tlemcen) - Tout Va Bien ! - 7min - 2007
- close up - 15min – 2009.
Dans ce même cadre des activités culturelles dans la wilaya, il est prévu
un rencontre avec Kamel Daoud , Journaliste au Quotidien d’Oran, lauréat du « Prix Littéraire Mohammed DIB » de la session 2006 – 2008. Quelques extraits de l’œuvre primée seront lus par les membres de l’atelier de théâtre de l’Association, la conférence sera suivie d’une collation et d’une vente dédicace du roman "L’Arabe et le Vaste Pays de Ô "le jeudi 26 Février à 16h30 à la maison de la culture de Tlemcen.
Synopsis du Film "L'Algérie, Son Cinéma et Moi" - 52min - 2006
La caméra de Larbi Benchiha se promène dans les rues d'Alger et il suffit de quelques échanges avec des Algérois pour comprendre que le cinéma algérien va mal. Les images du quotidien des Algériens sont celles des paraboles, des télés françaises et des casettes vidéo. Mais les films regardés sur grand écran dans une salle deviennent une denrée rare. Quant à voir du cinéma algérien... Cela fait plusieurs années qu'il survit via les réalisateurs expatriés ou quelques feuilletons pour la télé nationale. « Plus de salles, plus d'argent »
« Il n'y a quasiment plus de salles, plus d'argent pour faire des films, plus de public. En fait, résume Larbi Benchiha, il n'y a plus de culture du cinéma. » Pourtant, au lendemain de l'indépendance, le cinéma algérien a connu une période dense. « Après 130 ans de colonialisme, c'était un cinéma de propagande pour déconstruire le colonialisme et fabriquer une identité nationale mais, comme plein d'autres de ma génération, c'est ce qui a nourri mon imaginaire. Et puis, face aux difficultés économiques, la culture a été sacrifiée à partir de la fin des années 80. Tous les réalisateurs se sont retrouvés à la rue sans la culture de monter financièrement un film, sans l'État qui avait été producteur, distributeur... ».
Mohammed gadiri. 21.02.2009
Photo de Mr. Kamel Daoud Lauréat du Prix Littéraire Mohammed Dib ( 10 mai 2008) Session 2006/2008 et la Présidente de l'Association la Grande Maison " Fondation Mohamed Dib" Tlemcen.
L'Association "La Grande Maison" en collaboration avec la Maison de la Culture et la direction de la culture de Tlemcen organise le ciné club du Mardi par la projection-débat du film « "L'Algérie, Son Cinéma et Moi" de Larbi Benchiha - 52min – 2006 et une rencontre avec "Hadj Bensalah" directeur de la Cinémathèque d'Oran, spécialiste en cinéma qui animera une conférence sur le thème "La cinémathèque algérienne un pôle attractif pour l'information et la formation". le 24 février prochain à la maison de la culture« Abdelkader Alloula » à partir de 17 h.30 selon la présidente de l’Association, et en avant première des courts-métrages du réalisateur Noureddine Benhamed (Tlemcen) - Tout Va Bien ! - 7min - 2007
- close up - 15min – 2009.
Dans ce même cadre des activités culturelles dans la wilaya, il est prévu
un rencontre avec Kamel Daoud , Journaliste au Quotidien d’Oran, lauréat du « Prix Littéraire Mohammed DIB » de la session 2006 – 2008. Quelques extraits de l’œuvre primée seront lus par les membres de l’atelier de théâtre de l’Association, la conférence sera suivie d’une collation et d’une vente dédicace du roman "L’Arabe et le Vaste Pays de Ô "le jeudi 26 Février à 16h30 à la maison de la culture de Tlemcen.
Synopsis du Film "L'Algérie, Son Cinéma et Moi" - 52min - 2006
La caméra de Larbi Benchiha se promène dans les rues d'Alger et il suffit de quelques échanges avec des Algérois pour comprendre que le cinéma algérien va mal. Les images du quotidien des Algériens sont celles des paraboles, des télés françaises et des casettes vidéo. Mais les films regardés sur grand écran dans une salle deviennent une denrée rare. Quant à voir du cinéma algérien... Cela fait plusieurs années qu'il survit via les réalisateurs expatriés ou quelques feuilletons pour la télé nationale. « Plus de salles, plus d'argent »
« Il n'y a quasiment plus de salles, plus d'argent pour faire des films, plus de public. En fait, résume Larbi Benchiha, il n'y a plus de culture du cinéma. » Pourtant, au lendemain de l'indépendance, le cinéma algérien a connu une période dense. « Après 130 ans de colonialisme, c'était un cinéma de propagande pour déconstruire le colonialisme et fabriquer une identité nationale mais, comme plein d'autres de ma génération, c'est ce qui a nourri mon imaginaire. Et puis, face aux difficultés économiques, la culture a été sacrifiée à partir de la fin des années 80. Tous les réalisateurs se sont retrouvés à la rue sans la culture de monter financièrement un film, sans l'État qui avait été producteur, distributeur... ».
Mohammed gadiri. 21.02.2009
Photo de Mr. Kamel Daoud Lauréat du Prix Littéraire Mohammed Dib ( 10 mai 2008) Session 2006/2008 et la Présidente de l'Association la Grande Maison " Fondation Mohamed Dib" Tlemcen.
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