La prise en charge des forêts de chêne liège.
U n programme intégré de recherche portant sur la promotion, l’amélioration et la restauration des forêts de chênes lièges de Hafir et de Zarifet, vient d’être entamé par une commission composée de plusieurs intervenants.
Cette action vise la reconstitution écologique du peuplement, à moyen terme, et une extension de l’aire de chêne liège à long terme.
D’une superficie d’environ 2200 hectares , la subéraie de Hafir et Zarifette ( a rencontré d’importants obstacles, ce qui a rendu l’écosystème du chêne liège, très fragile et très sensible indique t’on.
Cette subéraie est aujourd’hui vieille et dégradée, et sa surface ne cesse de régresser, depuis le début du siècle.
Le phénomène de dépérissement est apparu en 1995, et s’est accélérer depuis 2004.
La période de sécheresse qu’à traverser la région a constitué un facteur favorisant ce vieillissement.
La prise en charge de la subéraie a porté, également, sur la mise en place d’un groupe de travail appelé à procéder à un diagnostic global de ces forêts et de proposer un ensemble d’actions cohérentes dans une option de gestion durable.
Un programme d’urgence de réhabilitation de cette subéraie est en cours de réalisation par la conservation des forêts et le parc national, entre autres des actions, de travaux sylvicoles de repeuplements et l’implantation de deux parcelles expérimentales pour le suivi écologique vient d’être lancée.
La wilaya de Tlemcen vient de lancer, pour sa part, un programme des Hauts plateaux, ou il sera crée des pépinières spécialisées en chêne liège en hors sol, parallèlement à des actions de réhabilitation qui permettront la reconstitution de la subéraie de Tlemcen.
La mission de la commission :
La commission a pour mission le suivi de la subéraie, en élaborant en première priorité compte tenu de l’urgence, un programme d’action qui sera circonscrit dans les cinq situations suivantes : - les formations dégradées , les formations incendiées avec un faible taux de reprise, les formations envahies par une essence secondaire,
Les taillis issus des assainissements ou naturellement après incendies,les futaies productives.
Objectifs spécifiques : C’est de présenter un diagnostic écologique, recueillir les avis et contributions des participants sur l’approfondissement de l’état actuel. De définir les concepts d’une gestion patrimoniale durable de la subéraie fondée sur l’aménagement intégré de la ressource. De définir, en plus, les perspectives touchant la préservation de la subéraie et de la biodiversité, intégration des besoins en usage dans un cadre organisé et réglementé.
Et d’augmenter de façon soutenue la production de liège et particulièrement celle du liège de reproduction de qualité marchande en adoptant un règlement approprié d’exploitation du liège, de réfléchir sur les techniques de régénération de la subéraie, d’inciter les opérateurs privés et publics à s’investir davantage dans la filière liège, de construire un consensus sur les questions qui interpellent l’administration à propos de la préservation et du développement de la subéraie.
Les effets attendus sont :
La définition des éléments de stratégie nationale pour la réhabilitation, l’esquisse d’un plan d’action et d’orientation et la mise en place d’un programme de recherches à mener pour pallier aux problèmes liés à la dégradation, à la réhabilitation, à la commercialisation, à la gestion et au développement de la subéraie.
M. GADIRI.
Recherche personnalisée
U n programme intégré de recherche portant sur la promotion, l’amélioration et la restauration des forêts de chênes lièges de Hafir et de Zarifet, vient d’être entamé par une commission composée de plusieurs intervenants.
Cette action vise la reconstitution écologique du peuplement, à moyen terme, et une extension de l’aire de chêne liège à long terme.
D’une superficie d’environ 2200 hectares , la subéraie de Hafir et Zarifette ( a rencontré d’importants obstacles, ce qui a rendu l’écosystème du chêne liège, très fragile et très sensible indique t’on.
Cette subéraie est aujourd’hui vieille et dégradée, et sa surface ne cesse de régresser, depuis le début du siècle.
Le phénomène de dépérissement est apparu en 1995, et s’est accélérer depuis 2004.
La période de sécheresse qu’à traverser la région a constitué un facteur favorisant ce vieillissement.
La prise en charge de la subéraie a porté, également, sur la mise en place d’un groupe de travail appelé à procéder à un diagnostic global de ces forêts et de proposer un ensemble d’actions cohérentes dans une option de gestion durable.
Un programme d’urgence de réhabilitation de cette subéraie est en cours de réalisation par la conservation des forêts et le parc national, entre autres des actions, de travaux sylvicoles de repeuplements et l’implantation de deux parcelles expérimentales pour le suivi écologique vient d’être lancée.
La wilaya de Tlemcen vient de lancer, pour sa part, un programme des Hauts plateaux, ou il sera crée des pépinières spécialisées en chêne liège en hors sol, parallèlement à des actions de réhabilitation qui permettront la reconstitution de la subéraie de Tlemcen.
La mission de la commission :
La commission a pour mission le suivi de la subéraie, en élaborant en première priorité compte tenu de l’urgence, un programme d’action qui sera circonscrit dans les cinq situations suivantes : - les formations dégradées , les formations incendiées avec un faible taux de reprise, les formations envahies par une essence secondaire,
Les taillis issus des assainissements ou naturellement après incendies,les futaies productives.
Objectifs spécifiques : C’est de présenter un diagnostic écologique, recueillir les avis et contributions des participants sur l’approfondissement de l’état actuel. De définir les concepts d’une gestion patrimoniale durable de la subéraie fondée sur l’aménagement intégré de la ressource. De définir, en plus, les perspectives touchant la préservation de la subéraie et de la biodiversité, intégration des besoins en usage dans un cadre organisé et réglementé.
Et d’augmenter de façon soutenue la production de liège et particulièrement celle du liège de reproduction de qualité marchande en adoptant un règlement approprié d’exploitation du liège, de réfléchir sur les techniques de régénération de la subéraie, d’inciter les opérateurs privés et publics à s’investir davantage dans la filière liège, de construire un consensus sur les questions qui interpellent l’administration à propos de la préservation et du développement de la subéraie.
Les effets attendus sont :
La définition des éléments de stratégie nationale pour la réhabilitation, l’esquisse d’un plan d’action et d’orientation et la mise en place d’un programme de recherches à mener pour pallier aux problèmes liés à la dégradation, à la réhabilitation, à la commercialisation, à la gestion et au développement de la subéraie.
M. GADIRI.
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